Il existe de nombreuses approches pour réagencer les molécules d’eau et favoriser son énergie subtile : y apposer un mot positif, y disposer un cristal de roche, placer l’eau dans une carafe énergisante (forme et/ou symbole), lui faire écouter de la musique classique, lui adresser une prière, créer dans l’eau un mouvement de vortex, y plonger une électrode,…
Certaines de ces approches – sinon toutes – semblent ridiculement ésotériques mais il suffit généralement de quelques minutes pour noter une différence significative en terme de texture (de l’eau) et de plaisir (à la déguster). Clairement et sans que l’on puisse expliquer précisément comment, quelque chose s’est passé au niveau énergétique de l’eau.
Tous les dispositifs ne sont évidemment pas aussi efficaces et certains ne sont même pas adaptés. D’autres solutions sont séduisantes par leur simplicité et bas coût mais peu pratiques à mettre en œuvre au-delà de quelques jours.
Nous parlons ici d’énergie subtile. Sans filtration ou ajout de matière extérieure (citron ou vinaigre acides par exemple), les appareils de mesure physico-chimiques n’attestent pas d’un changement significatif dans les paramètres de base (pH et rH2): comment un mot, une musique ou une prière pourraient-ils rajouter « physiquement » des électrons ou des protons ? Et pourtant, il s’est passé quelque chose dans l’eau, sa structure est objectivement différente…
Cette modification est attestée par des analyses plus subtiles : cristallisation sensible, spectrométrie (Bioscope), GDV (Visualisation de Décharge de Gaz), analyse electrophotonique, test Microtox’O,…
Au final, une bonne solution doit être pratique et surtout donner des résultats probants : permettre à l’eau filtrée et stagnante de se défendre contre les microbes et autres ondes électromagnétiques, être agréable à boire et apporter de l’énergie à l’organisme.
Il existe de nombreuses approches pour réagencer les molécules d’eau et favoriser son énergie subtile : y apposer un mot positif, y disposer un cristal de roche, placer l’eau dans une carafe énergisante (forme et/ou symbole), lui faire écouter de la musique classique, lui adresser une prière, créer dans l’eau un mouvement de vortex, y plonger une électrode,…
Certaines de ces approches – sinon toutes – semblent ridiculement ésotériques mais il suffit généralement de quelques minutes pour noter une différence significative en terme de texture (de l’eau) et de plaisir (à la déguster). Clairement et sans que l’on puisse expliquer précisément comment, quelque chose s’est passé au niveau énergétique de l’eau.
Tous les dispositifs ne sont évidemment pas aussi efficaces et certains ne sont même pas adaptés. D’autres solutions sont séduisantes par leur simplicité et bas coût mais peu pratiques à mettre en œuvre au-delà de quelques jours.
Nous parlons ici d’énergie subtile. Sans filtration ou ajout de matière extérieure (citron ou vinaigre acides par exemple), les appareils de mesure physico-chimiques n’attestent pas d’un changement significatif dans les paramètres de base (pH et rH2): comment un mot, une musique ou une prière pourraient-ils rajouter « physiquement » des électrons ou des protons ? Et pourtant, il s’est passé quelque chose dans l’eau, sa structure est objectivement différente…
Cette modification est attestée par des analyses plus subtiles : cristallisation sensible, spectrométrie (Bioscope), GDV (Visualisation de Décharge de Gaz), analyse electrophotonique, test Microtox’O,…
Au final, une bonne solution doit être pratique et surtout donner des résultats probants : permettre à l’eau filtrée et stagnante de se défendre contre les microbes et autres ondes électromagnétiques, être agréable à boire et apporter de l’énergie à l’organisme.